Vin château margaux - 78 vins disponibles

Un Margaux plutôt concentré, puissant et corsé, à la grosse structure tannique qui ne manque pas de classe ni de charme. Dès les premières dégustations le Château Marojallia a rencontré un extraordinaire succès. James Suckling ( 94 )

En 1838, désireux de laisser une empreinte indélébile, il choisit de rebaptiser Gorce : "Brane Cantenac". Le baron de Brane, surnommé le "Napoléon des vignes", se porta acquéreur du château Gorce en 1833.

Depuis 2006, Cantenac Brown appartient à l’Anglais Simon Halabi, passionné de vin, sous la direction de José Sanfins et avec les conseils avisés de l’œnologue Eric Boissenot.

Venez en juger par vous même..." Philippe Delfaut. "Après ces premiers mois d'élevage, on remarque que l'usage de 50% de barriques neuves est à peine perceptible, parfaitement intégré, et le fruit est plus que jamais un trait dominant.

Connu pour sa puissance et sa tannicité, le vin de Lascombes dévoile un caractère et une finesse légendaire. Il offre un beau volume, ainsi qu’un fruit intense et suave provenant de vendanges bien mûres.

Si le Château Margaux est renommé depuis le 17e siècle, c’est surtout depuis son rachat en 1978 par la famille Mentzelopoulos, puis avec le remarquable travail de l'ancien directeur Paul Pontallier, que le cru s’est véritablement imposé comme le meilleur de son appellation. J. Suckling : 98-99/100

L’une des meilleures affaires de la prestigieuse appellation Margaux ! Issu de jeunes vignes il se livre plus tôt, sur la fraîcheur de son fruit, mais sait aussi apprécier un passage en cave.

Le Blason d’Issan est le résultat d’un assemblage de Cabernet Sauvignon et de Merlot. Ce vin, associe l’élégance et la finesse de son appellation à la souplesse et au charme des vins du Château d’Issan.

Si le Château Margaux est renommé depuis le 17e siècle, c’est surtout depuis son rachat en 1978 par la famille Mentzelopoulos, puis avec le remarquable travail de l'ancien directeur Paul Pontallier, que le cru s’est véritablement imposé comme le meilleur de son appellation. J. Suckling : 98-99/100