Le JavaScript semble être désactivé sur votre navigateur. Javascript doit être activé dans votre navigateur pour que vous puissiez utiliser les fonctionnalités de ce site internet.
Il n'y a aucun objet dans votre panier.
‹ Vins
Meilleures ventes Top avis clients Coups de coeur de l'équipe Top promotion
‹
Champagne
Meilleures ventes Top avis clients Top promos Top coup de coeur
‹ Spiritueux
‹ Bières
En ce 8 mars, journée des droits des femmes, Twil met à l’honneur les femmes du vin. Souvent oubliée, voir effacée, retour sur l’histoire des femmes dans le monde viticole.
Cette histoire remonte à l’Antiquité, où l’on retrouve la première sommelière. Les fresques égyptiennes attestent aussi du travail des femmes dans le processus de fabrication du vin.
Le vin est cepandant resté une affaire d’homme pendant de nombreuses années, le père transmettant le vignoble à son fils et ainsi de suite. Pourtant, des femmes vigneronnes il y en a eu. Elles travaillaient à l’ombre de leur mari qui obtenait toute la lumière. La viticulture et agriculture en général étaient, et sont toujours, perçues comme des métiers physiques, trop difficiles pour les femmes. Elles étaient donc cantonnées aux tâches les plus pénibles et minutieuses comme la vendange et étaient par ailleurs bannies du chai de peur qu’elles ne fassent tourner les vins.
L’histoire des femmes est une histoire pleine d’oubli et peu documentée. Ainsi, nous n’en savons que très peu sur les femmes vigneronnes de l’époque. Nous pouvons cependant mentionner l’existence de plusieurs femmes qui ont révolutionné le monde du vin. Ces femmes sont devenues gérantes à la mort de leur mari, seul moyen à l’époque de diriger un domaine. Mentionnons par exemple, Barde Nicole Clicquot qui mis au point de nouvelles techniques de vinification en Champagne ou encore Françoise Joséphine de Lur-Saluces qui pris la tête du Château d’Yquem en 1788 et lui donna toutes ses lettres de noblesse.
Loin d’être égalitaire, le monde du vin a cependant bien évolué depuis. Mais le vin reste toujours un univers masculin ou une minorité de femmes sont mises en avant. Pourtant, elles sont bien là les vigneronnes : en 2010, elles représentent 28% des chefs d’exploitation viticole, contre 13% en 1988. Elles occupent des postes à responsabilité, même si elles ne sont pas toujours valorisées, voire prises au sérieux. Elles sont 20% de sommelières et 50 % inscrites au diplôme national d’œnologie. Elles restent par ailleurs sous-représentées dans les palmarès des concours et subissent encore un traitement différent des hommes.
Les femmes se font ainsi petit à petit une place dans le monde même si le chemin est encore long, avec l’aide notamment d’association comme Women Do Wine.
Vous ne voulez pas rater une goutte de l'actu du vin, vous voulez des nouvelles de nos producteurs ou de l'équipe Twil, suivez-nous sur les réseaux sociaux !